Les frontières entre bien & le mal ne sont-elle pas complémentaire ?

On ne né pas méchant
On apprend juste à le devenir …

Marchant d’un pas calme et tranquille, mon regard porté sur l’horizon. Je ne pensais a rien … je marchais juste a travers ma terre natale. L’air était glacial mais sec ne rendait pas l’atmosphère plus qu’il n’est et un froid sec est un bon froid. Sous mes pas craquait l’herbe gelé et blanchâtre. Des mes naseaux sortait de la vapeur d’eau au rythme de mes expirations. Mon touper me cachant la moitié de mon visage et de l’autre ma particularité de ma tache noir. Mes yeux bleu hérité de ma mère glissait sur se paysage hivernale. Ma queue cinglant de temps en temps l’air en claquant a la manière d’un fouet, avec elle j’étais capable de l’utiliser comme une arme grâce a sa longueur et sa forme naturellement effilé. Lors des combats je fouettais la face de mon ennemie pour l’aveugler pendant un moment suffisant pour porter le coup fatale. Cela faisait un moment que je ne m’étais pas battu avec un autre cheval, je me contentais d’autre individu tel que des loups … très présents sur mes terres. J’étais lasse du train train de monotonie qui s’installait sur Dream World avant il y avait plus d’action. A l’époque où il y avait des chevaux avant que peu à peu nous ne partions. Mais moi, je ne voulais pas partir conquérir de nouvelle terre … je voulais celle qui m’avais vue naitre un soir de printemps. Celle qui m’a vue grandir et évoluer …

Un flocon me tomba sur le coin de l’œil puis d’autre. Je m’arrêtai en m’ébrouant vigoureusement. Je levai mon regard vers le ciel en suivant ses milliers de flocon tombé du ciel. Un sourire se dessina sur mes lèvres ni sadique, mesquin ou cruelle … juste un sourire. Cette chose à mes lèvres disparut aussi vite qu’elle s’était dessiner. Je rabaissai ma tête arabesque, mes crins parsemé de neige et quelque cristal. A présent chacun de mes pas laissait derrière eux une trace mais qui allait être vite recouverte de neige. Un brouillard commençait à se former mais je pouvais distinguer le passage non loin de moi d’un harfang. J’entendis ses frottements d’elle à chacun de ses battements. Mais depuis maintenant plusieurs minutes je n’étais pas seul. J’attendais juste que cet individu se présente ou décide de se montrer si il l’ose.

( harfang ? C'est quoi ?)

Paysage hivernale au beau milieu de ce verger où le soleil brillait toujours. Malgré cela, le brouillard était tombé et la neige aussi. Pleins de flocons s'étaient posés sur mes crins et ma robe soyeuse, me gelant le sang. Mes pas s'entendaient à cause du gèle qui s'était déposé sur l'herbe. Mes j'entendais également des pas autres que les miens. Des pas d'équidés très certainement. Je tendis l'oreille et m'arrêtai.
Je lançai un hennissement roque et fort. Je priai pour que cet équidé soit Ice. Je pris un galop souple et léger, me dirigeant vers ces pas encore inconnues. Au loin une silhouette se dessinait dans le brouillard de la tombée de la nuit. Le ciel s'était assombrit, et je distinguais de cette silhouette, son côté arabesque. Ice Candy était également arabe, mais elle n'était pas la seule dans ce cas. Come aussi. Je lançai un hennissement bref, et continuai mon galop vers cet étranger.

Sachant que mes traces de pas prouvaient ma présence et l’endroit où je me trouvais, cet individu aurait aucun mal à me trouver dans ce brouillard. Cet oiseau magnifique de neige se posa non loin de moi en me fixant de ses yeux rond et jaune au regard perçant comme deux braises. Je m’arrêtai pour mieux l’observer. Entre ses pattes il avait un mulot ou une sourie étroitement acérer par les serres du volatiles. Brusquement il reprit son envol et me passa au dessus de ma tête en m’effleurant de ses serres les crins. Je pris cela pour une mise en garde, ce harfang devait être une femelle et son niché pas très loin d’ici. Elle recommença son manège sauf que cette fois, je la chopai de mes mâchoires l’un de ses ailes. La femelle lança un cri aigu de douleurs sous le craquement et de son autre aile me fouetta la face. Ses serres se plantèrent sur ma joue profondément et je dus la lâcher. Ma joue lacérer saignait mais ce n’était rien face à la fracture de la chouette blanche posé prés de moi, les plumes hérissés dans le but de m’impressionner.

Courageusement, elle réattaqua en direction de mes membres vue qu’elle ne pouvait voler. Il n’avait pas plus féroce qu’une femelle protégeant ses petits, surtout une femelle harfang de cet envergure. Je m’écartai d’elle et malgré son aile trainante elle se déplaçait plutôt vite. Un hennissement perça mes oreilles … tient mon frère. Cet abrutis cherchait Ice Candy, il est vraie que nous avions hérité de’ la même apparence arabesque tout les deux. Dommage qu’elle fut ma sœur car elle était des plus charmante. Pendant se temps l’oiseux se posa dans la neige, triste destins elle allait sans doute mourir. Elle se mit a poussé ses cris aigue comme si elle me maudissait.

Je vit toute la scène, et compris alors qu'il ne pouvais sagir que de Come Back. Les cris du Harfang me perçait les oreilles, et me glaçait le sang. Je repassai dans un trot souple et léger, avançant vers mon frère. Je m'arrêtai à quelques mètres de lui, le fixant dans les yeux.
La beauté de ce paysage était sans nom. Un magnifique verger remplie de neige. Je vis l'oiseau par terre au pied de Come, qui était recouvert de sang sur la joue. Le harfang avait dût bien l'attrapée, car les plaies saignaient beaucoup et me semblaient profonde.
-Un problème ?
Je continuai mon chemin en sa direction. La bête s'était tu, sans doute était-elle morte. De frois ou de blessures ? Ce stupide oiseau avait quand même osé croire qu'il pouvait avoir à faire face à un cheval.
Stupide volatile.

Grace au froid, je savais que ma blessure profonde ne s’infecterait pas et en plus de cela le froid la rendais non douloureuse et peu à peu allait aider au sang à coaguler plus vite. Je le sentais quand même pour le moment coulé et malgré la non douleurs cela me donnait l'impression d'avoir une joue engourdis. Je vis peu a peu arrivé mon frère Myst’ et la joie de me voir a la place de notre chère et introuvable Ice Candy. Je m’ébrouai, le harfang a mes pieds entrain de mourir surement à une hémorragie interne. Je souria a la venu de mon frère, nous qui avant ne se croisait jamais.

- aucun souci

Je mis ma tête penché dans la neige pour y coller de la neige sur ma blessure. Je serrai les dents sans un cri car le froid me brula la peau lésé. En relevant, mon sang ne coulait plus comme griller et glacé par la neige. A force de m’avoir battu, je savais comment soigner des blessures mais bien sure je le gardais pour moi et quelque fois a ceux qui me rejoignait.

» Ils sont ... tué de mes sabots, au fond de l'eau